Your Custom Text Here
Conception et design: hiver 2020
Construction: automne 2020 - été 2022
Sainte-Marguerite-du-lac-Masson
Un projet pour deux frères, une manière de se rapprocher de la nature, de se nicher au coeur de la forêt.
S’orientant selon l’axe qui traverse le terrain, se lovant contre la paroi rocheuse en amont, cette résidence est pensée pour s’intégrer à son environnement dans un style sobre, moderne et montagnard. Les espaces intérieurs sont ouverts sur la forêt, variée, offrant un spectacle différent selon l’angle et les saisons.
Design: printemps 2016
Mise en chantier: juillet 2016
Date de livraison: décembre 2016
Dans le sud de l’Alberta, à la frange des Montagnes Rocheuses et du parc national de Waterton s’étendent champs et pâturages dans un doux roulement, puis se posent aux versants subtilement, sans colline, sans piedmont. Vues et vents sont à couper le souffle et le paysage, pur, vaste et spectaculaire, a exercé une influence primordiale sur le design de cette dépendance d’un ranch à vocation écologique. La commande en était relativement simple: construire un sauna où famille et amis pourront bénéficier des bienfaits de cette tradition scandinave tout en contemplant les montagnes qui s’offrent au sud. En plus du sauna lui-même devait se trouver un espace où se changer et un boudoir.
Le bâtiment est donc orienté face aux montagnes et les ouvertures, une fenêtre fixe pour le sauna et une porte accordéon pour le boudoir, offrent une vue à 180 degrés des nombreux pics et vallées. De plus, comme bourrasques peuvent y souffler avec férocité, les débords de toit ont été éliminés et un panneau pivotant sur le mur ouest permet fermer l’espace extérieur couvert ou agir comme bouclier contre les vents dominants.
Le choix des matériaux a été effectué afin que le bâtiment se fonde dans l’environnement et respecte les coutumes et le patrimoine bâti de la région. Panneaux de fibrociment et acier nu pour l’extérieur, béton, sapin douglas et tremble pour l’intérieur.
Design: hiver 2016-17
Projet à l’état de proposition
Sur un lot étroit s’étendant jusqu’au lac doit être posée une petite cabane auto-suffisante, frugale et simple. Le budget étant limité, tout comme l’accès au site, aucun excès n’est permis.
Une petite clairière s’offre comme oasis, une poche bien protégée parmi les bouleaux, à mi-chemin entre la route et le lac, qui un jour seront reliés par un trottoir de bois.
Le chalet se doit d’être totalement autonome en énergie et ressources, ce sera une demeure de transition pour une professionelle en mal de la ville, donc aussi confortable et spacieux pour fonctionner au quotidien. La forme du toit libère de l’espace pour la mezzanine, celle-ci couvre moins de la moitié de l’espace rez-de-chaussée.
Design: hiver 2014
Mise en chantier: juin 2014
Date de livraison: printemps 2016
Ce chalet est le premier projet pour lequel j’ai travaillé pour et avec un client. Pensé pour les escapades de weekend d’un couple proche de la nature et des éléments, j’en ai été le concepteur, contracteur et main d’oeuvre.
Le chalet est niché parmi grandes épinettes, flottant au dessus d’une légère dépression et perturbe l’environment existant le moins possible. La nature y entre à profusion, comme la lumière, et la connection entre intérieur et extérieur est intense.
Des efforts particuliers ont été déployés afin de créer une forme unique et concise et la palette des matériaux a été limitée afin de conserver une unité et de ne pas distraire des éléments environnants. Ces principes ont produit comme résultat des espaces fonctionnels et empreints de sérénité et de lumière naturelle. En plus d’une chambre à coucher, salle de bain, cuisine et salon se trouvent un studio de peinture et un gazebo adjacent à la cuisine.
Le but de ce projet était de réaliser une structure de modestes proportions et adaptable à différents emplacements. Les dimensions sont prévues en fonction des limites légales imposées par le ministère des transports albertain.
Un système de production d’électricité solaire alimente l’éclairage et différents appareils et des réservoirs contiennent suffisamment d’eau pour répondre aux besoin quotidiens d’un individu pour environ une semaine.
La grande majorité des matériaux sont de provenance locale et le langage utilisé souligne le caractère brut et honnête de la région. Les éléments de structures et la quincaillerie sont laissés exposés et les matériaux à leur état naturel.
Le chalet se trouve présentement à James River Bridge, une petite bourgade au nord ouest de Calgary. À la limite des «foothills», en zone de transition, les pâturages sont voisinés de boisés où dominent les essences de résineux.
Cette habitation est la première que je dessinai et construisis et pour ces raisons conserve un caractère personnel et intime. Designer, constructeur puis propriétaire, j’y vécus une expérience «complète» et eus la chance de voir la maison prendre forme, puis vie, puis vieillir et maturer. J’eus alors l’occasion de mesurer et apprécier la matérialisation des concepts et idées qui l’auront générée.
De concepts de conservation de l’énergie, avec une isolation supérieure, une utilisation de l’apport passif solaire par l’orientation, l’utilisation de matériaux à forte inertie thermique comme le plancher de béton exposé et une judicieuse disposition des pièces et éléments mécaniques, a résulté un confort supérieur et de substantielles économie en coûts de chauffage.
Perchée sur un repli du Bouclier canadien, recluse dans la forêt laurentiennne, la vie dans cette maison inspire simplicité, sérénité et bien-être.
Afin de réaliser une utilisation optimale des matériaux, les poteaux furent positionnés à 48 pouces l’un de l’autre. Toutes les autres dimensions (solives de plancher de 20 pieds et chevrons de 16 pieds) maximisent aussi l’utilisation des éléments normalisés.
Les fermes de toiture, fabriquées sur places, s’alignent sur les poteaux et y sont fixées à l’aide de plaques d’acier et de tire-fonds. Une tige filetée court tout au long du mur et connecte ainsi les éléments en plus de permettre un ajustement parfait des niveaux. Les solives de plancher sont aussi fixées aux poteaux à l’aide de boulons de carrosserie.
DTalks, un organisme qui promouvoit le dialogue et les échanges dans le monde du design, de l'urbanisme et de l'architecture à Calgary, lance une campagne nommée «The Fold», pour laquelle des stations d'information devaient être disposées dans le lobby d'un théâtre de la ville.
J'ai donc conçu ces arches, formées de feuilles de contreplaqué forcées sur elles-mêmes, utilisant la contrainte du matériel pour créer une structure rigide et stable. Les stations peuvent être repliées à plat et rangées ou transportées avec un minimum d'effort et en occupant un espace restreint.